Après le séisme du 12 janvier 2010, des écrivains haïtiens et étrangers qui étaient sur place ont témoigné dans la presse internationale, contrebalançant des informations qui souvent étaient dictées par des besoins relevant du sensationnalisme ou de la xénophobie.
Le Nouvelliste et la Direction Nationale du Livre (DNL), un an après, ont demandé à ces écrivains de reprendre la parole, la plume, encore une fois, pour permettre aux lecteurs du monde entier de comprendre ce que nous avons tous vécu pendant cette année, quels sont nos espoirs et surtout pour rendre hommage aux victimes, aux survivants, aux héros, à nous tous.